Plusieurs directeurs de cabinet dénoncent la précarité de leurs statuts établis depuis 1987. Ces statuts semblent en effet aujourd’hui obsolètes à certain d’entre eux, qui souhaiteraient notamment la reconnaissance de leur emploi comme des postes permanents, la mise en place d’une indemnité minimale de licenciement, ou encore la reconnaissance de leur autorité fonctionnelle sur certains agents.